Baptême
Il existe de nombreuses coutumes et traditions marocaines pour célébrer l’arrivée d’un nouveau-né dans les familles. Selon les régions. Les rituels diffèrent quelque peu, mais la cérémonie appelée “aqiqah” ou “sbou” a lieu le septième jour qui suit la naissance de bébé. C’est l’occasion de rassembler la famille autour d’un repas avec de la musique ou non. Un mouton (ou agneau) est égorgé à l’occasion, pour donner le prénom de l’enfant, et lui murmurer à l’oreille la “Chahada“, pour lui transmettre la foi musulmane.
La veille du “sbou“, le rituel du hammam s’impose ! Pour la nouvelle maman appelée “nfissa” les 40 premiers jours qui suivent son accouchement, son hammam est appelé “Le Bain de Lalla“ ou “Le Bain de la Mère“. Ce bain est considéré comme une tradition importante pour aider les nouvelles mamans à récupérer et se sentir mieux après leur accouchement. Que ce soit avec des mélanges d’herbes naturelles afin de cicatriser les parties génitales et éviter toute infection, les nfissates* ont droit à un massage particulier. Un peu brusque, il permet d’étirer le corps dans son entièreté et “remet en place” chaque partie du corps de la femme ayant subi un changement dans son corps pendant 9 mois.
Après cela, la nouvelle maman peut également se faire des tatouages au henné sur les mains et les pieds, une façon de célébrer la naissance de son enfant. Parmi les rites, la maman met une babouche sur son ventre serré d’une ceinture afin de tout “remettre en place” et aider son ventre à reprendre sa forme… Le “Bain de Lalla” aide la mère à se sentir plus détendue, à réduire le stress et à stimuler la production de lait maternel. Il est également considéré comme un moment de soin de princesse en l’honneur de la nouvelle maman.
Il existe de nombreuses coutumes et traditions marocaines pour célébrer l’arrivée d’un nouveau-né dans la famille. Selon les régions, les rituels diffèrent quelque peu, mais la cérémonie appelée “aqiqah” ou “sbou” a lieu le septième jour qui suit la naissance de l'enfant. C'est l'occasion de rassembler la famille autour d'un repas avec de la musique ou non. Un mouton (ou agneau) est égorgé pour la circonstance, c'est aussi l'occasion de prénommer le nouveau venu et de lui murmurer à l'oreille la "Chahada", afin de lui transmettre la foi musulmane.
La veille du "sbou", le rituel du hammam s'impose ! Pour la nouvelle maman appelée “nfissa” les 40 premiers jours qui suivent son accouchement, son hammam est appelé "Le Bain de Lalla" ou "Le Bain de la Mère". Ce bain est considéré comme une tradition importante pour aider les jeunes mères à récupérer et se sentir mieux après leur accouchement. Ce bain traditionnel, à base d'herbes naturelles, vise à la cicatrisation du corps meurtri de la mère et permet d'éviter toute infection ultérieure. Il est suivi d'un massage spécifique aux nfissates. Un peu brusque, celui-ci permet d’étirer le corps dans son entièreté e, de « remettre en place » organes, muscles et ossature de la femme ayant subi un changement lors de la grossesse.
Après cela, la nouvelle maman peut également se faire des tatouages au henné sur les mains et les pieds, une façon pour la femme de célébrer la naissance de son enfant. Un autre rite traditionnel consiste à mettre une babouche sur son ventre serré d’une ceinture afin de tout “remettre en place” et aider son abdomen à retrouver sa forme initiale. Le “Bain de Lalla” aide la mère à se sentir plus détendue, à réduire le stress et à stimuler la production de lait maternel. Il est également considéré comme un moment de soin de princesse en l’honneur de la nouvelle maman.